Qui sait où sont les racines du vent ?
D’où vient sa vie ? Du ciel ou de la terre ?
L’arbre cherchait la clef de ce mystère,
Aimant cet être invisible et vivant.
Mais lui, le vent, se demandait souvent
Comment peut vivre un arbre solitaire,
Presque toujours occupé à se taire…
Que contenait ce silence éprouvant ?
L’arbre et le vent, de leurs mots poétiques,
Ont tissé leur dialogue fantastique ;
Et mon sonnet ne sait pas l’imiter.
On dit qu’après le coucher du soleil
Ils ont goûté un plaisir sans pareil…
Mais dans un temps quelque peu limité.
busymindthinking said:
This is beautiful in every way. I’m new to your site. Belinda, nice to meet you.
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Esther said:
Nice to meet you. Thank you. Esther
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godtisx said:
Shock hearts and souls….hmm. Wonderful poem.
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Esther said:
Thank you 🙂
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godtisx said:
🙂
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le blabla de l'espace said:
un poeme en sensation,
tres joli
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Esther said:
Merci 🙂
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Cochonfucius said:
Un monde et deux âmes,
Dans un étonnant partage…
Un arbre, et le vent.
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Esther said:
Je ne résiste pas au plaisir de citer ton sonnet :
Qui sait où sont les racines du vent ?
D’où vient sa vie ? Du ciel ou de la terre ?
L’arbre cherchait la clef de ce mystère,
Aimant cet être invisible et vivant.
Mais lui, le vent, se demandait souvent
Comment peut vivre un arbre solitaire,
Presque toujours occupé à se taire…
Que contenait ce silence éprouvant ?
L’arbre et le vent, de leurs mots poétiques,
Ont tissé leur dialogue fantastique ;
Et mon sonnet ne sait pas l’imiter.
On dit qu’après le coucher du soleil
Ils ont goûté un plaisir sans pareil…
Mais dans un temps quelque peu limité.
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